Rien ne me sépare de
la merde qui m’entoure
21 au 26 avril 2026
de Virginie Despentes
LU : Relâche | MA/JE/SA : 19h | ME/VE : 20H | DI : 18H
Pour toutes questions concernant la billetterie, merci d’écrire à caisse[at]pulloff.ch
La caisse est atteignable par téléphone (021 311 44 22), une heure avant chaque représentation
ACCUEIL
Production : Où sommes-nous Cie Genève et Hybrides & Compagnie Paris
Mise en scène : Véronique Ros de la Grange
Avec : Furioza, Béatrice Graf, Jacques Michel, Véronique Ros de la Grange
Collaboration Artistique : Jacques Michel
Musique : Béatrice Graf et Furioza
Dramaturgie–soutien à la mise en scène : Laure Hirsig
Maquillage-coiffure : Françoise Chaumayrac
Costumes : Emilie Revel
Lumière : Yoann Tivoli
Scénographie : Karim Baghriche
Son : Loane Ruga
Chargée de Diffusion : Julie R’Bibo
« [...] Despentes n’est pas femme à mâcher ses mots, la preuve en est encore fournie par Rien ne me sépare de la merde qui m’entoure. C’est un texte inédit, du 16 octobre 2020, veille du couvre-feu en France, prélude au confinement. Virginie Despentes en donna lecture au Centre Pompidou. «Éblouie par la pertinence de cette parole», Véronique Ros de la Grange l’a mise en scène.
[...] Ce manifeste incisif parcourt les phases successives de la fausse bienveillance d’État, pour s’élargir à une sortie bénéfique du moi, en direction d’une collectivité enfin agissante, unie, dressée contre la coercition armée qui enlaidit le monde [...]. C’est trop vite résumer l’ampleur de ce texte, dont la vocation libertaire et libératrice s’avère indéniable. Cela tient à la fois du cabaret berlinois et de l’énergie punk [...]. Ce spectacle tonique, généreusement orchestré dans une dépense loyale, parvient ainsi à corriger, dans le sens de l’espoir, l’atmosphère tragique où l’on baigne.»
Chronique de Jean-Pierre, L’Humanité, 06.10 2024. À partir de 15 ans.